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pétitions différentes sont proposées à vos
signatures
Elles interpellent l’ambassadeur de Chine en France et demandent la libération des personnes emprisonnées pour des raisons politiques, religieuses ou de conscience, et bien souvent leurs accusations sont sans fondement ni preuves concrètes. |
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C’est
un travail à long terme : ce n’est qu’à force
de pression que les résultats se font sentir. |
Vous
pouvez imprimer les pétitions et les faire signer autour de vous puis les envoyer à : Michel BONY - 10, rue saint Roch - 63960 Veyre-Monton - FRANCE il suffit juste de cliquer sur imprimer la pétition (de votre choix) |
Le Tibet au Sénat | plus d'info | ||
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Jampa |
Condamné
en 2002 pour mise en danger de la sécurité de l'Etat. Nous
vous demandons de libérer immédiatement et inconditionnellement
Jampa Namgyal, prisonnier politique. |
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Dolma Kyab |
Le
9 mars 2005, Dolma Kyab professeur d’histoire et écrivain
tibétain, a été arrêté puis détenu
au Centre de détention du Bureau de la Sécurité Publique
(PSB) de la Région Autonome du Tibet. Secrètement, le 16 septembre 2005, lors d’un procès non conforme aux normes internationales, la Cour Populaire Intermédiaire de Lhassa l’a condamné à 10 ans de prison pour « Mise en danger de la sécurité de l’Etat » Sentence confirmée le 30 novembre suivant. La raison de son incarcération est la rédaction de deux manuscrits, non publiés, traitant de l’Histoire et de la Géographie du Tibet non conformes à la version « officielle » chinoise. Dolma Kyab y parlait de sujets « sensibles » tels que la religion ou le communisme. Depuis sa prison, il a fait parvenir au Haut Commissariat des Nations Unies pour les droits de l’Homme, une lettre demandant de l’aide. L’article 19 de la Déclaration Universelle des droits de l’Homme, l’article 35 de la Constitution de la République Populaire de Chine et le Pacte International relatif aux droits civils et politiques, tous signés, par la Chine reconnaissent le droit d’expression aux citoyens. Lettre de Dolma Kyab à la communauté internationale |
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TENZIN DELEK RINPOCHE |
Tenzin
Delek Rinpoche, 57 ans, est un lama très respecté dans La région de Lithang, province du Sichuan. En 1978, il avait secrètement rencontrer le précédent Panchen Lama afin de lui faire part des tortures infligées par les autorités chinoises aux tibétains de la région.Il avait aussi averti le gouvernement tibétain en exil des destructions de monastères. En 1982, il rencontra le Dalaï lama à Dharamsala. De retour au Tibet en 1987il a subi une surveillance policière constante pour ses activités politiques et ses contacts avec le Dalaï lama. Il est arrêté le 7 avril 2002 ainsi que 4 de ses amis tous suspectés d’être impliqués dans l’explosion d’une bombe. Le 2 décembre 2002 lors de son procès, il est accusé d’avoir participé à l’explosion de cette bombe, de possession illégale d’armes, de participation à des activités séparatistes. Ce qu’il a toujours nié.Le 5 décembre il est condamné à mort. Le 26 janvier 2005 la haute cour annonce que Tenzin Délek Rinpoche ne serait pas exécuté mais que sa peine serait commuée en prison à vie. |
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NAMKHA GYALTSEN |
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ans de prison pour activités séparatistes Namkha est un moine de 27 ans. Il fait partie des 4 moines maîtres de chant du monastère de Ganzi qui abrite 500 moines de l’école Gelukpa (comme le Dalaï- lama). Il est accusé d’avoir peint sur des ponts métalliques et des bâtiments gouvernementaux des slogans séparatistes, fait circuler des affiches et des tracts favorables à l’indépendance. Lorsque leur campagne politique est découverte par la police, les 4 hommes fuient le pays (octobre 2005). Peut-être dénoncés, car la police chinoise rémunère bien les informateurs, ils sont arrêtés emmenés à la prison de Shigatsé puis à Kardzé terriblement torturés et battus. Lettre du CSPT au sujet de Namkha Gyaltsen |
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JIGME GYATSO | 18
ans de prison pour « activités et « contre révolution
» Cet ancien moine âgé de 45 ans environ, a été arrêté le 30 mars 1996 pour avoir constitué un groupe appelant à l’indépendance du Tibet. Jigmé Gyatso a été terriblement torturé et battu à de nombreuses reprises avant son jugement et séparé des 17 autres personnes arrêtées en même temps que lui. Il a été jugé le 23 novembre 1996 à Lhassa, condamné à 15 ans d’emprisonnement et conduit à Drapchi en 1997 pour y purger sa peine. Il connut à nouveau la torture, la cellule d’isolement. En mai 2004 sa peine est allongée de 2 ans pour avoir crié des slogans favorables au Dalaï-lama, puis allongée de 2 ans encore en mars 2005. Une rencontre avec un rapporteur des Nations Unies en novembre 2005 lui vaut des conditions de détention très strictes et la cellule d’isolement. Il aurait été hospitalisé début 2006 pendant plusieurs semaines et serait incapable de marcher. Lettre du CSPT au sujet de Jigme Gyatso |
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Gendhun Choekyi Nyima |
Est
le plus jeune prisonnier politique du monde : cet enfant, reconnu comme
le 11ème Panchen Lama, a été enlevé, avec
sa famille, par le gouvernement chinois le 17 mai 1995, alors qu’il
n’avait que 6 ans. Nous n’avons aucune nouvelle de son lieu
et de ses conditions de détention depuis son enlèvement.
2 410 SIGNATURES |
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Ngawang
Jungney |
Laïc, condamné
en 1997 à 9 années |
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Phuntsok Wangdu |
Moine,
condamné en juin 1998 à 14 années de prison pour “espionnage”. 1 820 SIGNATURES |
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Jampel Changchub |
En novembre 1989, Jampel Changchub a été condamné
à 19 ans de prison et à 9 années supplémentaires
de privation de ses droits civiques, à la suite d'une sentence
collective. Il est accusé d'avoir imprimé des tracts (dont
la déclaration universelle des droits de l'homme en Tibétain),
de faire partie d'une organisation contre-révolutionnaire et d'espionner
pour le compte de l'ennemi ¯. 2 290 SIGNATURES |
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Ngawang Phulchung |
Comme
le moine précédent, il a été condamné
en novembre 1989 à 19 années de prison et 5 années
de privation de ses droits civiques pour avoir imprimé des tracts,
dont la Déclaration des Droits de l’Homme, traduite en tibétain.
2 120 SIGNATURES Libéré aux alentours du 21 octobre 2007 |
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Ngawang Tensang |
Parrainé depuis mars 2004 par la Mairie de Gerzat,
il a été libéré après 15 ans passés en prison. |
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Rinzin Wangyal |
MORT EN PRISON
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Cet
homme de 59 ans est décédé en prison à la
fin de l'année 2004. Sa mort n'a pas été confirmée
officiellement. Son corps n'a pas été remis à la
famille. Rinzin Wangyal purgeait sa peine au camp de travail de Pawo Tramo.
Les dernières informations le concernant datent du 31 mai 2004.Elles
faisaient état de la détérioration de son état
de santé du fait des tortures répétées durant
ces années de prison. Arrêté une première fois
en 1966-67, suspecté d'avoir organisé un mouvement indépendantiste,
il avait alors passé 17 ans en prison. La seconde arrestation eut
lieu en août 1995, Rinzin Wangyal était suspecté de
faire partie d'un mouvement politique dont l'objectif était de
perturber le 30ème anniversaire de la fondation de la Région
Autonome du Tibet. Il fut de nouveau condamné à 16 ans de
prison en octobre 1997. Durant son emprisonnement, sa peine fut transformée
en prison à vie. Le Tibetan Centre for Human Rights and Democracy
(TCHRD basé à Dharamsala, a répertorié 87
décès de prisonniers politiques tibétains pour cause
de tortures depuis 1987.) (Sources : TCHRD, 4 février 2005) |
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